Des livres, des livres encore des livres !

parole du generique

chinois (ou japonais)

 

Deai ni iro wa nakute monokuro fukinukeru
Itami go toki ni yudane mashou
Kizuato tsuyoku nazoru youshanai aki ga kitte
Suzushi yubi temaneku mama ni

Toketa ato no yakkai na koori mitai na watashi wo
Yashashiku sukutte uwakuchibiru de asobu

Soredemo hitotsu no ai no katachi wo sagasu
Tooku yori mo ima wo musun da kareta hitomi wo
Dekireba kono mama tsutsumerete owaritai
Futari de himeta awai hada tsuki mo kakureteru

Are kara ikuraka yoru suki ni mo nari mashita
Izon no umi iki mo wasurete

Muchuu no sono temae de namanuru sa dake nokoshite
Hikigiwa no bigaku tokuige na KISSU kirau

Hitori ni shinai de mou sasshite ayamete
To kotoba mo kimi no heya de wa surinukete yuku no
Midarete nemutte sore ijou wo oshiete !
Egao no toi ni mayou toiki tsuki dake ga miteru

Tsugi no nagai hikari ga tenjou todoku koro ni wa
Kimi wa mou inai watashi wa mou iranai

Soredemo tashika ni ai no katachi wo sagashita
Tooku yori mo ima wo musun da nureta hitomi wo
Dekireba kono mama tsutsumarete owaritai
Sono negai wa yoru wa munashiku asa wo tsuretekuru






En Français.



Comme le noir et le blanc qui imprègnent nos rencontres incolores
Cette cicatrice qui porte ma douleur ne cesse de me faire mal
Durant l'automne sans couleur le vent commence à souffler
Et une main froide et calme me fait signe

Comme un glaçon gelé au somment de l'eau fondue
Tu me ramasse doucement et joue avec moi sur tes lèvres

Mais malgré ça je chercherais toujours un seul et véritable amour
Tes yeux asséchés cherchent si loin à présent
Et si je le pouvais je te serrerais dans mes bras
Jusqu'à ce que tes yeux rouges et orgueilleux trouvent enfin l'infini

Au court de toutes ces nuits après cela, mon amour n'a fait que grandir
Dans l'océan infini j'en ai même oublié de respirer

Avant de faire naufrage dans mon ivresse j'ai laissé derrière moi une brûlure ardente
Et avant ta retraite laisse-moi dire que je hais tes baisers vaniteux

Ne me laisse donc pas seul, arrête ça et dépêche-toi de m'imbiber de tes couleurs
Après tout le temps passé dans cette chambre plus aucun mot ne peut me tromper
Je perds à jamais dans mon sommeil à travers tes étreintes fictives !
Seulement la lune hésite à mentir tandis mes yeux questionnent ton sourire

Et voilà que la lumière obscure que tu projettes atteint les cieux
Et ma lucidité ne m'est désormais plus nécessaire au creux de tes bras

Mes yeux humides se ferment doucement sans essayer même de résister
Mais la distance entre cet amour et moi reste pour l'instant inchangée
Si cela était possible, je voudrais que tu m'embrasse quand la fin viendra
Mon rêve ne deviendra pas réalité ce soir mais demain apporte un nouveau jour

Avec ta douceur, ta chaleur et tes baisers infortunés
Inonde-moi de couleur comme si c'était la dernière fois que la lune brillera sur nous



11/10/2010
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